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Quelques questions à ..... Les Petits Fils de Jack

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hello a tous

Les petits Fils de Jack en voila un nom qui sonne bien !

Le groupe dieppois est en phase montante permanente 

Nous les avons interviewé il y a quelques semaines 

Voici l'analyse de leur succés :

 

 

 

Le nom du groupe fait il référence à Tim Burton et l'étrange noël de monsieur Jack ou si c'est juste le fruit du hasard ?

 

Non, il ne fait référence à aucun Jack célèbre même si l’étrange noël de Mr Jack est un film qui a bercé notre enfance ! Ce nom vient d’une soirée bien arrosée où l’on a retracé nos arbres généalogiques. Nous avons tout les quatre un ancêtre s’appelant Jacques. Nous avons américanisé le Jacques pour « jack » (c’est plus cool) et gardé ce nom de groupe EN FRANÇAIS car il suscite la curiosité des gens et ce retient facilement.

 

Création en 2008 et déjà un album, un single, et un EP, rien n'arrête votre créativité?

 

Depuis 2011 et la sortie de notre premier album, on s’est fixé l’objectif d’avoir une actualité régulière à proposer au public. Le fait d’être un groupe autoproduit et indépendant nous oblige à rester continuellement dans le mouvement et même le renouvellement pour fidéliser le public. De plus, nous avons tout les quatre des esthétiques musicales différentes et en perpétuelles mutations, sans compter le besoin d’explorer de nouveaux horizons. Pour finir le travail en studio n’est pas le même qu’en live, il est très plaisant de retrouver cette situation régulièrement.

 

Où en sont LPFDJ maintenant  justement ?

 

Actuellement nous venons de terminer la mise en place d’un nouveau spectacle avec notamment l’intégration d’interaction vidéo, de décors et un travail de création sur la lumière. Nous sommes en période de compositions également avec déjà deux nouveaux titres dévoilés en live dont « Aller à vau-l’eau » mis en ligne sur notre chaîne youtube. Attendez vous encore à des surprises et surtout du changement !Cette année nous visons les salles de musiques actuelles et allons démarcher les professionnels de la musique pour trouver de nouvelles personnes souhaitant porter le projet le plus haut possible.

 

Pas mal de date en 2013, une participation au greatful sound cette année, tourner semble vous êtres indispensable au vue de votre agenda?

 

Oui, plus de 45 dates en 2013 dont 32 pendant la tournée de cet été ! Outre le fait que faire des concerts régulièrement est indispensable pour un groupe indépendant, on peut dire que c’est une drogue dont on ne peut se passer. Partir sur les routes pour faire 32 concerts en 50 jours était une magnifique expérience pleine de rencontres, de moments insolites et de souvenirs inoubliables. Malgré les kilomètres et la route, le chargement/déchargement du matos, la fatigue et la hâte de rentrer à la maison sur les derniers concerts, c’était super et on va renouveler l’expérience. Nous partons d’ailleurs pour une semaine de concert en Avril. Nous sommes de vrais accros du LIVE.

 

Où trouvez vous le temps de composer et comment cela se passe-t-il en général ?

 

Généralement on s’enferme plusieurs jours pour composer et mettre en forme nos idées. Cette méthode permet de s’isoler du monde et de nous concentrer uniquement sur le groupe et mettre notre créativité au travail. C’est d’ailleurs comme cela qu’est né l’EP « Je Reste Là ». Après plus d’une semaine de résidence nous avions onze compos et le concept !

 

Un magnifique featuring avec Mezzo des 1NP, l'idée d'allier une section rap dans un de vos titres vous est venue comment?

 

Mezzo et l’ensemble des 1NP sont des potes et l’idée de faire quelques chose ensemble était là depuis un moment. Quand on à composer « Ma Cellule » on s’est tout de suite dit que l’idée d’un feat avec Mezzo s’imposait sur ce morceau. Il a été séduit par l’atmosphère dégagé de ce son et a écrit le texte dans la foulée. À noter aussi que les Claviers ont étés arrangés et joués par Vincent le claviériste de 1NP.

 

Dieppe et la région dieppoise est un bon réservoir de petits groupes qui rencontrent un énorme succès a l'image de nos amis les FTH , qu'en pensez vous?

 

Nous en sommes très contents ! Quand on a commencé à Dieppe en 2008 il y avait pour ainsi dire quasiment aucun groupe en vogue. Dame fortune venait de se séparer et les bars concerts commençaient déjà à être fermés. Depuis, la ville a repris une certaine dynamique notamment avec l’arrivé du tremplin du conservatoire de Dieppe dont nous avons eu l’honneur de remporter la première édition en 2008. Depuis il y a chaque année de nouveaux groupes qui se forment en vue de participer au tremplin et cela permet de mettre en avant les talents de notre ville. Ce tremplin se voit donner le rôle d’un créateur de groupe et de talent Dieppois. Tout comme nous, FTH et 1NP ont remportés une édition du tremplin et s’en sont servi pour aller de l’avant. A Dieppe, nous commençons à apercevoir l’arrivé d’un collectif, un soutien mutuel entre différents groupes et surtout une belle amitié entre 1NP, FTH et LPFDJ.

 

La question matos est traditionnelle chez nous, alors, vous utilisez quoi comme matos?

 

Matthieu : Guitare Larrivé rs4, tête d’ampli Engl invader100 avec un cab 2x12 de celestion vintage 30 ou 4x12 Engl. Pedalboard d’effet boss : delay digital, tremolo, reverb, fuzz et freezer.

 

Arthur: Guitare Halgstrom swede type « lespaul » , combo Engl Sovereign 100 vintage, z-vex fuzz factory, delay boss, memory toy, wha et un overdrive TS-9DX.

 

Florian: Basse Rickenbacker 4001 stéréo de 79 et basse custom 77 I’m on E, ampli Ampeg svt-cl vintage avec cab 8x10 et 4x10 HLF. Pedalboarb custom avec HF line6 G30, Accordeur korg, Compresseur et overdrive EBS et préamp VT bass deluxe de tech 21

 

Bertrand : batterie Pearl studio brx 3 fûts en bouleau. Pédale double Tama, cymbales Sabian et Paiste. Caisse clair 14 pouces en métal On utilise aussi énormément le sampler SPDSX de chez Roland. Notament pour le click et le lancement de samples mais aussi pour contrôler l’informatique et la vidéo par protocole MIDI.

On enregistre sur pro-tools via une Digidesign Digi 003 + factory avec plein de plug-in !Bref, tous ce qu’il faut pour un bon gros son rock habillé d’autres styles plus anglo-saxon.

 

Revenons sur les albums, la plupart sont autoproduits ou avez-vous enfin réussi à signer sous un label ?

 

Tous sont autoproduits, nous faisons tout nous-mêmes avec une petite équipe de personnes comprenant de la technique : un ingé son studio (Sébastien LANGLE), un ingé son live (Rafaël GEORGES), un ingé-lumière (Virgile BANSARD), un graphiste (Pierre-Henry ROY) et un photographe/vidéaste (Fréderic SAOUTER). Mais aussi de l’administratif avec un comptable, une secrétaire et une présidente qui forment notre association « Jack arrive ». Nous sommes indépendants de toute autre structure sauf bien sur la sacem et parfois des guichets uniques pour les contrats de cessions et les « payes ». Après plusieurs propositions de signatures désastreuses avec des boites de prod dont nous ne citerons pas les noms, nous avons décidé de ne plus s’en préoccuper et de fonctionner par nous-mêmes. Néanmoins aujourd’hui, nous cherchons activement un label ou une boite de prod avec qui signer pour nous accompagner et nous permettre de grandir encore et encore.

 

La boite, une revanche face à l'engouement techno dance floor commercial ?

 

Une revanche non, mais plus un clin d’œil à l’industrie commerciale de la musique en France et à la culture de masse mainstream qu’impose les majors. On était jeune dans le maniement de la plume quand on a écrit ce morceau et à l’époque on voulait raconter l’histoire d’une sortie de quatre jeunes rockeurs qui se retrouvent dans une boite de nuit à écouter et danser sur de la musique « grand publique ». Évidemment, ils éprouvent une certaine frustration pour tout l’engouement et l’omniprésence autour de cette musique.

 

 

On sent dans vos textes une rage d'en découdre avec les temps actuels, c'est votre leitmotiv ?

 

 

C’est vrai que l’on puise beaucoup notre inspiration dans les faits actuels ou dans ce que l’on vit tous les jours. Sur L’EP « Je Reste Là » notamment, la ville et tous les problèmes liés à son environnement sont au cœur du sujet. Tout comme vous, nous sommes citadins et sentons parfois une certaine oppression. D’où le radical visuel de l’EP.D’ailleurs, la photo de couverture a été prise par Fréderic SAOUTER sur les hauteurs de Rouen dans le bois du roule. Un endroit où beaucoup de gens vont décompresser à deux pas de la ville en contrebas! Sans rentrer dans de grands débats, grandes interrogations ou encore la politique, nous aimons avoir des textes qui interpellent les gens car ils peuvent s’y retrouver. D’autres fois ce sont des textes plus abstraits ou l’auditeur peut imaginer sa propre histoire. Les deux sont importants.

 

Cette dernière questions est la votre, défoulez vous !!!!

 

Très bien alors, une petite devinette ! -« Touche, touche pas, touche pas, touche » Qu’est-ce qui touche ?Le mieux est de la répéter à voix haute Bonne chance ;-)

 

 

 

 

Les Petits Fils de Jack s'inscrit dans la ligné des groupes qui marque une génération

Malgré leur jeunesse ,ils acquiérent vite des reflexes de pros

Ca sonne , c'est précis et agréable

Leur show est une véritable reussite

Et absolument inoubliable

Tout est rodé et sans défaut 

Avec une bonne maitrise du spectacle

Si vous les croisez sur vos chemins

N'hesitez pas une seconde !

Et succombez au ras de marée LPFDJ

 On retrouve Mathieu et sa bande 

Sur tout les reseau sociaux disponibles

https://www.facebook.com/LPFDJ?fref=ts

 

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